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Étiquette : dualité

Face – à – face

L’égo s’exprime, ici, en face – à – face sur les prismes de la séduction en duo avec la jalousie. Chronique de la pertinence ou l’impertinence en psychologie afin que chacun puisse tirer les fils de la prévenance du cœur.

Promenons-nous dans les méandres des séductions et démasquons la jalousie hybride. Nous allons progressivement séparer le bon grain de l’ivraie et nous nous donnerons pour mission de débusquer le cheval de Troie.

Des séductions duelles

Lorsque nous pensons séduction, nous visualisons des personnes rayonnantes, charismatiques, solaires. Ou, et cela incombe à tout un chacun, nous sommes séduit par un petit quelque chose de singulier auprès d’une personne. Notre sujet est d’éclaircir deux types de séductions afin de déterminer si l’échange, la mise en relation entre personnes est bienséante ou malveillante. C’est en identifiant les types de comportements et des inter actions produites qu’il nous sera possible de dire : Eurêka ! Nous ciblons deux types d’énergies par le biais d’un duo : séduction saine ou toxique. Ce face – à – face est le centre de notre thème afin d’être lucide sur les desseins d’impostures relationnelles.

Séduction saine

Pour ce type de séduction dont disposent certaines personnes ; il se remarque car elles ont un talent naturel à entrer en communication. La nature des échanges se caractérise par la bienveillance, la courtoisie, l’empathie. Il est probant que ce sont des personnes dont l’égo a un grand besoin de plaire et d’être aimé donc leur aspiration profonde est d’unir et réunir. Nous pourrions parler de l’intelligence du cœur. Sur un plan énergétique, les échanges sont fluides avec respect sans jamais être dans l’invasion. Cette séduction prône la sincérité, l’authenticité, le bien vivre ensemble.

Séductions toxiques

Ces séductions avancent masquées, elle sont empreintes d’un double jeu parfois difficile à déceler, à quantifier. C’est pourquoi trois rubriques aiderons à dissocier les postures. Je choisis de les nommer : le ring, la star, la comédie. Pour rappel, notre objectif est de démasquer le cheval de Troie.

Le duo sur le ring

Le ring, cette métaphore nous indique un match, un combat où les partenaires se confrontent. Dans un contexte de séduction c’est par la joute verbale que des intellects vont s’unir. Sous ce prisme de séduction observons qu’un duel se joue. Le mental sublime et la compétition des savoirs et pensées s’émoustille, ce sont des occasions de pleine jouissance. Il existe le risque d’entrer en permanence en compétition avec l’autre et soi même ce qui entraîne les individus dans les nimbes de Narcisse.

La star et son univers

La première marque de fabrique de la star est qu’elle éclipse tout le monde même si elle ne rayonne qu’avec une cour. Ce type de séduction se manifeste par des signes éloquents comme : la vanité, l’arrogance, l’exubérance, l’intelligence, des côtés despotiques. Ces atours peu attirants devraient faire fuir et bien non, au contraire ! N’oublions jamais que la séduction masque, gomme tout comportement rationnel car la séduction irradie. Ces personnes sont dépourvues d’empathie, au caractère froid, au mental rigoriste. Le cerveau gauche est en surchauffe ;). Nous y retrouverons les élites, les dirigeants, les gourous. La star brille et se régénère au travers de son univers où tout est codé, quantifié, balisé. Il existe donc des milieux où tyran-star-gourou et esclaves s’auto alimentent dans une harmonie parfaite. Des dommages majeurs sont créés par ces types d’individus comme l’aliénation de la pensée d’autrui. L’autre devient une victime manipulable. Nous penserons puissance, imposture.

La comédie humaine

Cette séduction meuble notre quotidien et bien mal acquit celui ou celle qui ne s’y est pas laissé prendre. Il suffit de jouer à l’observateur ++ entre les sujets : émetteur – récepteur. Cherchons à comprendre les mécanismes. Ces personnages prêts à toujours plus d’exubérances ou d’assurances tentent de cacher une forme d’impuissance. Ils déclenchent une frustration inconsciente en la présence d’un autre qui, lui, détient ce qu’ils désirent. Que cherchent ces personnes ? Elles sont en quête de se lier aux vibrations, l’énergie, la lumière de l’autre. Ces gens sont des prédateurs, ils captent et aspirent l’originalité, la singularité du partenaire. Ils n’agissent que pour leurs intérêts et sont déconnectés de leur âme. Ils se jouent une comédie en toute inconscience au dépend d’autrui. Face à ce type d’usurpateur il est vivement conseillé de résister aux transferts car il mettra tout en œuvre pour faire douter sa proie.

Une pépite de 2005 où tout est dans le titre : « L’autre c’est moi » . Ce spectacle de Gad Elmaleh est son meilleur selon moi. Il s’écoute comme une lecture de face – à – face aux multiples visages. régalez-vous. https://www.youtube.com/watch?v=vPeqF7Cvz9g

face à face

Jalousie

Nous y voilà après cette exploration des séductions, nous allons débusquer le schéma jalousie, lequel pollue l’environnement relationnel. D’où cette métaphore du cheval de Troie celui ci évoque la part sombre et masquée de l’individu. L’origine de la jalousie est souvent un clonage éducatif puis ceci s’accentue dans notre monde consumériste abreuvé d’images aux effets miroirs désastreux. Lorsque la jalousie passe par le prisme de la séduction toxique, elle condense le libre arbitre du partenaire. La notion de possession devient envahissante sur tous les plans au détriment de la création, c’est la dénégation, l’entropie. Si des relations humaines sont maltraitantes, poussent aux divergences alors il en revient à chacun de nous d’être vigilant et ouvert sur l’éveil du cœur. Apprenons à identifier et dire non aux situations toxiques. Échangeons, partageons avec des personnes qui vibrent sur nos fréquences avec de belles énergies.

En complément, vous pouvez consulter ces articles : l’un sur la jalousie approchée différemment puis un sur la trinité. Je suis sur les énergies qui rassemblent pour se faire je pense que le fruit et de trouver dans le duo les voies harmoniques de la trinité. https://osmose-montpellier.fr/2019/10/15/jalousie-psychologie-imposture-controle/

https://osmose-montpellier.fr/2019/04/26/la-trinite-energies-sources-et-ressources/

MERCI

Chemin de vie, ses fausses notes

Les fausses notes illustrent à merveille, par analogie avec les épreuves de l’existence, les reliefs du chemin de vie. Le sujet n’est pas de centrer le propos sur la musicothérapie mais d’extraire la magie organique. Ce sont, donc, deux thèmes de notes qui vont s’exprimer ici : la fausse note et la note bleue. Ces deux thèmes forts font émerger une rhétorique via le son, les fréquences des contours sombres de la psyché. La musique c’est la vie, dans ce contexte, la voie est d’être en harmonique avec soi-même.

La vie et ses notes

Certes nous ne sommes pas tous réceptifs aux mêmes perceptions face à la musique. Cependant il est connu que la musique soigne, on parle de la musicothérapie. Elle s’exerce sur trois dimensions : active, réceptive et détente psychomusicale.

La voie, ici, est d’aborder le caractère sensible, émotionnel produit pas l’effet des notes sur la psyché. C’est une initiative pour créer un lien entre le chemin de vie et l’expression musicale. Si le chemin de vie est parsemé d’épreuves et cause des tourments avec la musique les guérisons émergent de l’intérieur. Les musiciens, de génération en génération ont su traduire, mettre en son l’histoire. Leur intention, leur ressenti les ont conduit à nous raconter de l’intérieur ce qui blesse et guérit. Et c’est par ce chemin des profondeurs, grâce à ces artistiques que nous sommes en mesure de trouver nos harmoniques, nos résonances. Ici, donc, les émotions deviennent des amies qui vont soutenir le mental. Elles vont par leurs échos multiples ouvrir la capacité au mental de trouver sa voie, il comprend, il perçoit. Le mental est en éveil.

La fausse note

Avec Marc Vella, la fausse note prend son sens didactique et émotionnel. Il transpose et fait la concorde entre les épreuves du chemin de vie et les fausses notes des partitions. Sa définition établit le pont entre les sons, les notes et les mots, les émotions. Il énonce : « La fausse note donne vie, elle magnifie ». Son concept porte sur la dualité qui s’épouse. Jouer des dissonances car la dissonance éveille, c’est ainsi sa lecture pratique de la fausse note dans la quinte. Ceci fait largement écho à la notion de résilience. Lorsque la conscience adopte le principe de dissonance, les accords et désaccords font sens enfin l’essence de vie croît dans sa nature. C’est alors la quintessence intérieure qui naît, l’unité. Cette résilience porte le fruit d’être aligné, en harmonie dans sa lumière.

Comme Marc Vella le dit si joliment en ces deux formules : « La quinte intérieure donne accès à son essence, sa présence, sa quintessence ». « La quinte donne l’alignement, l’émerveillement, la grâce, face à ses fausses notes ».

Je vous encourage à écouter cette vidéo : La note la plus près du ciel. Marc Vella développe ceci avec sa belle âme de caravanier en joie. MERCI https://www.youtube.com/watch?v=Hbm25pBpBCU

La note bleue

chemin de vie fausses notes
  • Miles Davis s’est fait le chantre de la note bleue, en effet qui mieux que lui a interprété, traduit ces tonalités majeure et mineure, de joie et de tristesse. L’origine de la note bleue se trouve dans le système musical pentatonique africain confronté au diatonisme occidental https://fr.wikipedia.org/wiki/Note_bleue.

Cette typologie souligne la plénitude des tonalités sur cet étirement des fréquences sur le plan émotionnel. Ce sont les musiciens de jazz et de blues qui jouent de cette technique afin d’exprimer ce souffle d’ambiguïté émotionnelle. L’effet de cette harmonique agit comme purificatrice sur les expressions : plainte, tristesse, nostalgie, joie. Certes les corps ne vibrent pas aux mêmes fréquences cependant ce Kind of Blue est totalement le lien entre le sombre et le lumineux. C’est une réelle trans de l’intérieur avec l’extérieur parfois pudique parfois distendue dans l’espace. Oui, c’est une compilation précieuse, thérapeutique comme une ode à la joie, la clarté.

Le soi et ses couleurs

Au fil du temps, nous apprenons à nous connaître, à nous guérir, à nous harmoniser. Nous nous ancrons dans notre quintessence. Nous apprenons l’amour et remercions. L’essence de l’essentiel et en premier lieu s’aimer et se connecter à ses fréquences ses potentialités. Les fréquences, les notes sont associées aux couleurs, nous sommes sur ces déclinaisons quantiques et holistiques. Profitez du test aurascope pour devenir votre maître intérieur. https://osmose-montpellier.fr/test-aurascope/

MERCI

Le jeu du chat et la souris

Ce jeu du chat et de la souris, nous pouvons l’énoncer par le « fuis moi je te suis – suis moi je te fuis ». C’est  une thématique dans l’amorce de la relation amoureuse. Nous trouverons, ici, tous les liants du mystère, de l’idéalisation, la perte, la fuite, le vide. La recherche de l’idéal du moi passe par la rencontre avec l’autre. L’amour accorde sa lyre lorsque les fréquences sont bonnes. Cherchons ensemble le rationnel et l’irrationnel dans l’aventure amoureuse.

La relation amoureuse, sa quête, sa requête

La base commune de la relation amoureuse est d’approfondir, lier le bonheur à deux. La rencontre de deux sujets livre un terrain d’exploration qui petit à petit va tracer le sillon où les graines du moi idéal va tendre en idéal du moi pour chacun. En effet, par  ces face à face en miroir, les mutations sont actives et nous tiennent en éveil. Ici, tout est beau : Nous sommes tous et toutes prêt à s’accorder pour associer la relation amoureuse aux notions d’accompagnements, de protections, libertés, échanges, partages. Le but, bien sûre, la quête de soi et cela commence dès le berceau voir plus tôt…

La fuite, la perte, la course, le vide

Ici, dans fuis moi je te suis, suis moi je te fuis, collé au jeu du chat et de la souris, nous ne parlerons pas de mort mais de petites morts. En effet par le biais de ces éloignements répétitifs chacun des deux sujets est à la fois en recherche et en fuite. Cette forme de « progression » par le vide et la course conduit à une forme d’hystérie intérieure. Ne pas accueillir le face à face pour construire c’est un refus commun de déposer des paramètres nouveaux, balayer l’obsolète et  accomplir l’essence de l’individu. Certes, ce n’est pas facile, sachant que nous sommes tous boiteux à l’origine. Nous cherchons à trouver l’équilibre dans notre propre division intérieure.

Espace, vide = idéalisation

Attention, le risque est grand lorsque la distance, l’espace, le vide se créent  dans une relation amoureuse. Le monde idéal devient inconstructible par l’absence de projets rythmés dans l’équilibre et la congruence. L’espace tendu livre la perte, l’angoisse, l’abandon. Dans une telle situation, la réparation possible est de commencer à idéaliser l’autre puisque pas de présence : Plus de mots, plus d’échanges pas de projets. Autre écueil en phase 2 est d’absorber les angoisses et névroses de l’autre. Les 2 cas mènent à la consultation, elle s’impose pour remettre les pendules à l’heure. La répétition ferait mal et moche dans le tableau. Attention, donc à la définition du mot liberté individuelle, elle peut masquer une fuite. Trouver la route de la confiance mutuelle c’est le Graal de la relation amoureuse.

L’écho par ma vidéo

#amour #bonheur

L’approche de la jalousie https://osmose-montpellier.fr/2019/10/15/la-jalousie-le-grand-bazar/

Règle du jeu, duplicité en Je

Y a t’il une complicité entre la règle du jeu et la duplicité en Je ? L’éclairage est de centrer le débat sur l’importance des mots leur ambivalence, duplicité et la mise en situation. Les mots, le langage construisent la personne pensante, sa psychologie afin d’évoluer avec son état d’être : Je. J’ai été bercé par Molière en écrivant et je le suis toujours, j’aime son humour et son espièglerie. L’art de la comédie, l’art du jeu, l’art d’être vrai dans son rôle.

A  Duplicité des mots 

Perceptions du langage

La duplicité des mots permet d’effriter les conversations avec pour conséquence : des dialogues de sourds. J’observe fréquemment des échanges verbaux où il se joue une scène de deux monologues. Les sujets se croisent, ils ne sont plus sur la même longueur d’ondes. Imaginez un arbre, chacun est sur sa branche et ne voit plus, n’entend plus, n’écoute plus l’autre. La perception du langage est subtile, sacrée car chacun, chacune parle en son JE, je suis, sa qualité d’être. Il convient donc d’être attentif à cette duplicité, dualité traduite par le sens, la perception du langage. Une liste de mots où il arrive de se perdre dans la traduction que chaque individu singulier porte dans sa perception. Le conseil est de veiller à être compris et comprendre l’autre. Jouons la même règle du jeu, harmonisons nos « je » et faisons du « nous ».

  • Détachement – lâcher prise,
  • Spiritualité – énergie – libido,
  • Attitude – position – posture,  
  • Fusion – pulsion – désir,
  •  Dualité – adversaire – ennemi,
  •  Masculin – féminin – yin – yang,
  • Divin, Dieu.

Ces 2 vidéos vont vous offrir du bonheur sur le potentiel, la duplicité, la perception du langage et son impact sur nos consciences, notre esprit, notre âme. Franck Lepage : https://www.youtube.com/watch?v=XmdRrl3-ghY&t=0s contexte contemporain, langue de bois, histoire, éducation. Michel Maffesoli : https://www.youtube.com/watch?v=9CnLLN0Tbdo traite du sensible, de la duplicité, l’âme humaine, la renaissance.

B  Règle du jeu en scène

Le théâtre

Ici, nous allons jouer et chercher. Imaginez, visualisez une situation et transposez-vous au sein d’une représentation théâtrale. Cette proposition métaphorique offre un champ de recul. L’objectif est de chercher à se positionner dans une situation par la question : Où suis-je ? Qui suis-je ? L’acteur, le public, le metteur en scène, derrière le rideau ? L’acteur émet, il est dirigé ; le public reçois, il ressent ; le metteur en scène place, il guide. Etre derrière le rideau est la position d’attente, de retrait. Puis au final se dire : je comprends, je peux, je vais, je décide, je crée l’espace et ma re-naissance. L’évocation d’entrer en scène est une allégorie de la quête identitaire.

C  La raison du Je

Naissance de la personne pensante

La raison du je est de savoir se débarrasser des scories des formes grammaticales de l’ordinaire. Je préfère proposer une étude du sens des mots comme : la manipulation, le narcissisme, le mensonge etc… Le contexte devient plus souple. Lorsque le récit commence part : Il/elle est pervers narcissique, manipulateur, c’est réducteur, l’objectivité est diluée. Le Je, qui raconte, qui se raconte est ouvert à sa duplicité, sa dualité. Il sait dire : je pense, je vois, je comprends et j’apprends enfin je suis. A l’opposé, lorsque JE raconte son trauma à travers l’histoire de IL : Il est ceci cela, alors le JE passe par l’accusation, le jugement et s’oublie, perds sa raison d’être : Je suis. La personne pensante trouve la raison par des prises de recul salvatrices. Elle ne s’apparente plus à la  position de martyre ou de juge. Les formes d’agir s’éveillent sainement. Les masques tombent et la création peut jaillir .

D  L’art dans la controverse

Reliefs et perceptions

L’art réside dans la controverse en jouant des mots et ce jeu donne les reliefs jusqu’à de nouvelles perceptions. Vous créez vos mantras favoris, choisissez ce qui vous hisse et vous éveille. Vous connaissez cette expression : voir le verre à moitié vide – voir le verre à moitié plein. C’est un marqueur parmi tant d’autres.

L’objet du jeu est de prendre un contre pied afin d’ouvrir à une perception modifiée. Exemples : L’acte manqué devient l’acte réussi. La jalousie contrôle les peurs, l’évacuer donne toute la place au talent de création. Le choix marque l’esprit d’aventure et alors on décide, on devient acteur grâce à son libre arbitre. A chaque pas s’articule une relation de cause à effet. Les routes se suivent, se croisent ou se traversent chaque émetteur, chaque récepteur occupe sa place. C’est un envoi et renvoi de balle avec les hauts et les bas. L’épreuve s’accompagne et devient un cadeau. https://osmose-montpellier.fr/2019/12/25/le-jeu-du-chat-et-de-la-souris-relation-amoureuse-perte-fuite/

E  L’égoïsme généreux

Je, moi, je suis

Le bien-être commence par l’attention à savoir se porter à soi même. La quête et les accomplissements expriment, distinguent sa singularité sans avoir à culpabiliser. C’est donc en choyant son intérieur et mêmeté d’être  que la lumière diffusée en soi devient centrifuge. Par conséquent cultiver son jardin est une priorité avec grâce, élégance, respect et générosité. Les effets de lumières se potentialisent entre émetteurs – récepteurs.

Citation de Bouddha

Ce que l’on pense, on le Devient

Ce que l’on Ressent, on l’Attire,

Ce que l’on Imagine, on le Crée