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Étiquette : manipulation

Vibrations du mensonge

Le mensonge diffuse des vibrations aux fréquences bases où s’installent duperies, trahisons, névroses. C’est par le biais de mises en scène en mode vie privée qu’une lecture analytique, psychique cherche des clés. Je me garde d’aborder le collectif cependant je réserve au lecteur d’appliquer ses propres copié/collé… Pinocchio est un sujet double, connexe à la duplicité du je. L’histoire nous le présente sous deux phases d’incarnations. Dans la première étape, il est fait de bois puis devient un être de chair. L’analogie entre bois et chair : la matière, exprime la naissance de l’Être par son esprit. Nous y voyons le contraste entre l’avant et l’après, l’incarnation d’un : Je suis. Sans qu’il en soit question à l’époque, en 1881, Pinocchio incarnait la résilience. Pour notre plus grand plaisir, nous allons voyager dans la mixité du monde des bascules entre imaginaire et réel.

5 mensonges des temps modernes

1 – Mensonge partenaire

Je suis à l’aise dans cette séquence du mensonge partenaire puisqu’il est question de ma mère. En effet, lorsque que ma mère se trouvait devant une situation sans correspondance avec ce qu’elle souhaitait alors elle la transformait. Par ses mensonges elle n’avait de cesse de fuir les réalités afin de vivre dans son monde imaginaire. Elle faisait en sorte d’y faire entrer son entourage. Pour moi, alors, je voyais le monde des adultes comme un spectacle. Un monde où vibraient mensonges et fausses complicités . Ma mère excellait dans cette voie et trouvait toujours une victime pour endosser ses manquements, ses fuites, ses peurs. Ce type de comportement est toxique tant pour l’auteur que pour le récepteur. La recette sera de prendre possession des faits afin de dimensionner l’effet miroir en œuvre. C’est en refusant d’accuser réception que la libération prend place.

J’ai donc su, ressenti très jeune, sans savoir y déposer les mots d’aujourd’hui, qu’il y avait quelque chose qui clochait. Ce quelque chose est de constater que ma mère refusait le réel avec les soubresauts de son inconscient qui la submergeait. Elle refusait en bloc la réalité du quotidien. Ma chance dans tout cela est qu’elle m’a ouvert la porte de la conscience. C’était une femme intelligente, drôle et savait être semi consciente de sa part inconsciente. Elle avait sa formule favorite : « Je ne ment pas, je transforme la vérité ». Elle a donc contribué à m’ouvrir la porte de la pensée profonde. Merci Maman.

2 – Mensonge en conscience

Les vibrations du mensonge en conscience portent le fruit de la capacité d’adaptation. C’est faire un usage soft et serin de l’empathie, en mode : Un peu mais pas trop ! La scène classique est d’être confronté à un « conflit » d’énergies, des vérités en oppositions. Très simplement lorsque le courant ne passe pas. Les vibrations sont antinomiques et se convoquent naturellement dans les scènes du quotidien. La technique est d’être en capacité de faire une réponse qui s’oppose à nos valeurs. Nous nous transformons en menteurs et ceci en pleine conscience.

C’est l’effet boomerang : Je réponds, je ment et ainsi je me dégage de toutes empruntes toxiques, accusatrices, polluantes. Ce mensonge fait du bien, il permet le nettoyage, il assainit face à l’idiotie ou la vindicte. L’art de ce mensonge consiste alors à être en conscience et ouvre à la pratique du détachement. Ce pourrait être la réponse : « Oui, mais bien sûr ! », je te répond oui tout en pensant non. Pour information : Dans les tuyaux à venir un article : Deuil phases des 3 A, où je proposerai mon approche et analyse du deuil sur la base des 3 mots clés : Accepter – Accueillir – Amour… Inscrivez-vous à la newsletter, afin de suivre l’information 😉

Résilience mensonge déni

3 – Mensonge déni

Tout en crescendo, le sujet du mensonge s’épaissit. Après les douceurs des 1 et 2 où le climat exprimait un ordre pseudo donnant donnant, nous allons passer dans le dur. Le cas du déni pur est tout autre. Concernant la première attitude à adopter, il sera essentiel de trouver ses repères dans le contexte de la rencontre. Une question se pose alors : Où est ma place ? Le mensonge incrémente le déni en conséquence il témoigne de l’état psychique de l’acteur. Je choisi l’usage d’acteur à dessein car ainsi je souligne la notion du double, du jeu de rôle. La typicité des personnes qui mentent et sont dans le déni est qu’elles sont malades. C’est une relation directe de causes à effets.

J’opte pour le terme malade afin d’exprimer le désordre et le dysfonctionnement psychique. Il va de soit qu’une panoplie de mots psy bien référencés se charge de classer les cas graduellement. Je ne suis pas dans ce rôle là. L’objet, ici, est d’ouvrir notre regard sur l’environnement et d’y faire face avec conscience et bienveillance. Cette « maladie » ouvre les portes de l’idéalisation et la déconnexion au réel. Ces personnes entrent dans la coutume du mensonge et peuvent conduire l’entourage à les accompagner. La précaution sera de savoir jusqu’où nous cautionnons ? Et, où sont nos valeurs essentielles ? Est-il nécessaire, à titre individuel d’y perdre son âme ? Cette vidéo, de mon cru, sur le déni : https://www.youtube.com/watch?v=qyQvsR1z_Tk

4 – Mensonge manipulation

Attention, prudence, nous entrons dans une zone de turbulences ! Le caractère de ce mensonge porte une direction spécifique puisqu’il s’approprie la personne, il la nourri de l’intérieur. Ces personnages se mentent à eux même mais par l’aval d’un système éducatif favorable à ce type de déviances. Grâce au concours d’un contexte favorable dés l’enfance, ces gens se cultivent d’une toute puissance écran et deviennent des schizophrènes. Dès tout petits, ils s’accoutument à la duperie, la trahison, l’humiliation, l’orgueil, la vanité, l’imposture et habitent leur vérité. L’emprunte de telles personnes est le besoin de contrôler, posséder, mentir et manipuler afin d’arriver à leurs buts, leurs fins. Ces gens sont démoniaques, dotés d’une intelligence froide, muent par la perversion des vertus : jouissance, puissance, possession. https://osmose-montpellier.fr/2019/04/26/la-trinite-energies-sources-et-ressources/

Qu’en est-il des gens d’en face, les proies, les victimes ? Qu’en devient-il de ces victimes prêtent à se soumettre, se faire manipuler, entrer en dépendances ? La soumission, la dépendance ne peuvent se confondre avec l’obéissance. Certes l’enfant obéis aux adultes car eux sont présents afin de protéger, nourrir, transmettre. A ceci près qu’il existe une limite ténue où parfois peut de glisser un mauvais esprit même sans intention directement néfaste. Il peut naître alors un bourreau et une victime. Cependant pour une mise en garde factuelle, force est de constater : Pour qu’il y est un bourreau, il faut qu’il y est une victime « disponible ». C’est alors une fabrique du consentement. Comment s’extraire ? C’est simplement en prenant conscience de son libre arbitre et écouter son enfant intérieur, son ressenti, son intuition. Ceci consiste à savoir dire : « Non« , se faire confiance et veiller à choyer son environnement avec de bonnes vibrations.

5 – Mensonge de l’élastique

L’élastique est cette matière qui se tend et revient, ceci nous parle. Cependant, avant d’exploiter le retour, commençons par aborder l’histoire à son début. Car ce mensonge est le spécialiste du sabotage, de la frustration perverse. Visualisons donc une laisse de chien tendue ou souple. Dans les faits, c’est comme un conte : « Il était une fois des partenaires heureux avec des projets, des promesses. Et pourtant, les promesses ne sont pas tenues, les projets ne se réalisent pas ». Dans ce type de narratif, élargissons les visuels de références sur le court et le long terme. Les exemples ne manquent pas, je prends deux types, temps court : « C’est moi qui achète le pain, demain » ; temps long : « Nous voyagerons un jour en Norvège ». Et, oups, le pain est oublié, le voyage n’a jamais lieu. Nous sommes face à l’acte manqué qui en réalité est un acte réussi.

L’auteur principal tient cette laisse imaginaire avec laquelle il croit contrôler, ceci inconsciemment, son partenaire. En réalité, il est profondément ancré dans une dérive du contrôle, héritée de son système éducatif. Sous couvert de protection, les parents dictent interdits, devoirs d’obéissance, moyennant la garanti du statut, de l’amour et la sécurité. Une confusion s’installe entre : Ce qui émane de la bonté et ce qui est nuisance. . La marque de fabrique, pour ces enfants, consiste à s’habituer au collier, la laisse et favorise l’aliénation mentale. Ces enfants à l’âge adulte deviennent pervers d’eux même, ils sont, alors, leur propre bourreau. Afin de fuir cette dérive perverse d’automutilation, l’adulte va tisser, reproduire ces situations auprès de son partenaire. Il va donc au gré de son insu mentir et manipuler l’autre. Il louvoie avec la culpabilité jusqu’à ce que l’autre s’en échappe et s’en libère.

Jonas résilience mensonge

Vibrations de la résilience

Dans tout conte, mythe, nous sommes en face – à – face avec une morale. Nous avons à loisir de comprendre et d’entrer en résilience, tourner la page. Nous pouvons écrire de nouveaux chapitres de vie. Apprenons à nous débarrasser et gérer ces situations en creux. Sachons saisir et choisir notre environnement. Les biais cognitifs d’une certaine catégorie de personnes peuvent nous servir de terrain de jeu. C’est par la connaissance et l’analyse que le libre arbitre s’émancipe.

Résilience de Pinocchio

L’histoire de Pinocchio pose l’accent sur un avant, un après, ceci passant par de grandes métamorphoses. D’une marionnette de bois articulée il va, grâce à l’esprit, l’amour de son père devenir un petit garçon. La symbolique est de quitter l’état d’objet et d’être reconnu petit homme grâce au verbe, à la parole. Cette parole procure à Pinocchio la joie d’exister et d’aller à la découverte de la vie, du monde. Cependant il est marqué d’un handicape dès lors qu’il ment son nez s’allonge. Le nez représente la conscience. Ces épreuves de mensonges répétitifs sont les apprentissages des transgressions, duperies. Pinocchio doit trouver la voie du milieu. Il va se perdre dans les méandres des interdits, cependant sans jamais être dans le déni grâce à son nez . Il s’égare, se perd, Geppetto aussi, ils vont devoir aller à la quête de leur fils intérieur.

La rencontre avec le fils intérieur se manifeste par ce passage au creux du ventre de la baleine. Le père et le fils se retrouvent. Chacun d’eux a affronté ses épreuves, en écho avec leur place respective, celle du père et du fils. Ces retrouvailles dans le ventre de la baleine symbolise la résilience sur le plan psychique, analytique. La dimension spirituelle s’embrasse avec le prophète Jonas en Israël. Jonas intègre son ombre, il mute… Nous avançons alors vers les vraies dimensions spirituelles humaines où nous ouvrons notre cœur à la joie. https://osmose-montpellier.fr/2022/07/11/jonas-le-prophete/

Sens de la conscience

En guise de pont, je choisis un passage de l’ouvrage de La Boétie, Discours de la servitude volontaire https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_de_La_Bo%C3%A9tie . Je dépose ma pierre à l’édifice : La conscience vibre au rythme de la connaissance, c’est une façon de couper les ficelles du pantin.

« …Être nuit et jour après pour songer à plaire à un, et néanmoins se craindre de lui plus que d’homme du monde ; avoir toujours l’œil au guet, l’oreille aux écoutes, pour épier d’où viendra le coup, pour découvrir les embûches, pour sentir la ruine de ses compagnons, pour aviser qui le trahit, rire à chacun et néanmoins se craindre de tous ; n’avoir aucun ni ennemi ouvert ni ami assuré… »

GF Flammarion, page 170

MERCI

Règle du jeu, duplicité en Je

Y a t’il une complicité entre la règle du jeu et la duplicité en Je ? L’éclairage est de centrer le débat sur l’importance des mots leur ambivalence, duplicité et la mise en situation. Les mots, le langage construisent la personne pensante, sa psychologie afin d’évoluer avec son état d’être : Je. J’ai été bercé par Molière en écrivant et je le suis toujours, j’aime son humour et son espièglerie. L’art de la comédie, l’art du jeu, l’art d’être vrai dans son rôle.

A  Duplicité des mots 

Perceptions du langage

La duplicité des mots permet d’effriter les conversations avec pour conséquence : des dialogues de sourds. J’observe fréquemment des échanges verbaux où il se joue une scène de deux monologues. Les sujets se croisent, ils ne sont plus sur la même longueur d’ondes. Imaginez un arbre, chacun est sur sa branche et ne voit plus, n’entend plus, n’écoute plus l’autre. La perception du langage est subtile, sacrée car chacun, chacune parle en son JE, je suis, sa qualité d’être. Il convient donc d’être attentif à cette duplicité, dualité traduite par le sens, la perception du langage. Une liste de mots où il arrive de se perdre dans la traduction que chaque individu singulier porte dans sa perception. Le conseil est de veiller à être compris et comprendre l’autre. Jouons la même règle du jeu, harmonisons nos « je » et faisons du « nous ».

  • Détachement – lâcher prise,
  • Spiritualité – énergie – libido,
  • Attitude – position – posture,  
  • Fusion – pulsion – désir,
  •  Dualité – adversaire – ennemi,
  •  Masculin – féminin – yin – yang,
  • Divin, Dieu.

Ces 2 vidéos vont vous offrir du bonheur sur le potentiel, la duplicité, la perception du langage et son impact sur nos consciences, notre esprit, notre âme. Franck Lepage : https://www.youtube.com/watch?v=XmdRrl3-ghY&t=0s contexte contemporain, langue de bois, histoire, éducation. Michel Maffesoli : https://www.youtube.com/watch?v=9CnLLN0Tbdo traite du sensible, de la duplicité, l’âme humaine, la renaissance.

B  Règle du jeu en scène

Le théâtre

Ici, nous allons jouer et chercher. Imaginez, visualisez une situation et transposez-vous au sein d’une représentation théâtrale. Cette proposition métaphorique offre un champ de recul. L’objectif est de chercher à se positionner dans une situation par la question : Où suis-je ? Qui suis-je ? L’acteur, le public, le metteur en scène, derrière le rideau ? L’acteur émet, il est dirigé ; le public reçois, il ressent ; le metteur en scène place, il guide. Etre derrière le rideau est la position d’attente, de retrait. Puis au final se dire : je comprends, je peux, je vais, je décide, je crée l’espace et ma re-naissance. L’évocation d’entrer en scène est une allégorie de la quête identitaire.

C  La raison du Je

Naissance de la personne pensante

La raison du je est de savoir se débarrasser des scories des formes grammaticales de l’ordinaire. Je préfère proposer une étude du sens des mots comme : la manipulation, le narcissisme, le mensonge etc… Le contexte devient plus souple. Lorsque le récit commence part : Il/elle est pervers narcissique, manipulateur, c’est réducteur, l’objectivité est diluée. Le Je, qui raconte, qui se raconte est ouvert à sa duplicité, sa dualité. Il sait dire : je pense, je vois, je comprends et j’apprends enfin je suis. A l’opposé, lorsque JE raconte son trauma à travers l’histoire de IL : Il est ceci cela, alors le JE passe par l’accusation, le jugement et s’oublie, perds sa raison d’être : Je suis. La personne pensante trouve la raison par des prises de recul salvatrices. Elle ne s’apparente plus à la  position de martyre ou de juge. Les formes d’agir s’éveillent sainement. Les masques tombent et la création peut jaillir .

D  L’art dans la controverse

Reliefs et perceptions

L’art réside dans la controverse en jouant des mots et ce jeu donne les reliefs jusqu’à de nouvelles perceptions. Vous créez vos mantras favoris, choisissez ce qui vous hisse et vous éveille. Vous connaissez cette expression : voir le verre à moitié vide – voir le verre à moitié plein. C’est un marqueur parmi tant d’autres.

L’objet du jeu est de prendre un contre pied afin d’ouvrir à une perception modifiée. Exemples : L’acte manqué devient l’acte réussi. La jalousie contrôle les peurs, l’évacuer donne toute la place au talent de création. Le choix marque l’esprit d’aventure et alors on décide, on devient acteur grâce à son libre arbitre. A chaque pas s’articule une relation de cause à effet. Les routes se suivent, se croisent ou se traversent chaque émetteur, chaque récepteur occupe sa place. C’est un envoi et renvoi de balle avec les hauts et les bas. L’épreuve s’accompagne et devient un cadeau. https://osmose-montpellier.fr/2019/12/25/le-jeu-du-chat-et-de-la-souris-relation-amoureuse-perte-fuite/

E  L’égoïsme généreux

Je, moi, je suis

Le bien-être commence par l’attention à savoir se porter à soi même. La quête et les accomplissements expriment, distinguent sa singularité sans avoir à culpabiliser. C’est donc en choyant son intérieur et mêmeté d’être  que la lumière diffusée en soi devient centrifuge. Par conséquent cultiver son jardin est une priorité avec grâce, élégance, respect et générosité. Les effets de lumières se potentialisent entre émetteurs – récepteurs.

Citation de Bouddha

Ce que l’on pense, on le Devient

Ce que l’on Ressent, on l’Attire,

Ce que l’on Imagine, on le Crée

La jalousie, le grand bazar ! Imposture, contrôle

Critique de la jalousie

La jalousie pôle de contrôle ou d’impuissance ? C’est avant tout un grand bazar psychologique. Dans ce monde de performances et de convoitises l’humain dévisse, il se masque. C’est le masque de l’oubli de ce qui fait sens. Une aliénation ordinaire où authenticité, singularité, création n’ont pas d’espace. La jalousie est un borborygme de l’hégémonie sociétale. Bienvenue dans ce bilan plein de ressources.

Le masque de la jalousie

Le contrôle

Dans notre monde consumériste, il serait presque amusant d’observer ces terres peuplées de concombres masqués. Et d’entendre, de voir ou d’être rassuré par cette banalisation de la jalousie en proclamant : « ce n’est pas moi, c’est l’autre », ou encore « ça, je le veux, il me le faut », « ceci m’appartient » … Mais, la lucidité témoigne que la jalousie, c’est s’engager et s’installer dans une torpeur à l’intérieur de soi, en soi même. Cette torpeur conduit et induit la stérilité à la création. A l’inverse de cet enfermement, être vivant, créatif, libre, curieux de nouvelles connaissances c’est apprendre de la vie, des autres avec et par eux. La fécondité humaine réside dans l’authenticité des échanges. La bienveillance fait sens dans les partages. La possession rime avec sa place, elle habite la vraie présence. Cette page peut vous permettre d’ouvrir d’autres portes, créer d’autres liens : https://osmose-montpellier.fr/2019/04/26/energies-sources-et-ressources-la-trinite/

Le mutualisme des comportements jaloux

L’imposture

Par ce terme : mutualisme, j’entends souligner le potentiel d’énergies négatives qui se propagent, se déploient au cœur de la vie du quotidien, au risque de banaliser la jalousie. Merci à la société de consommation ! La jalousie porte le faire valoir ou déchaîne les envies, elle cause surtout des ravages psychologiques, occasionne des pertes de repères. C’est comme ‘progresser’ dans les ténèbres de l’aliénation, vivre d’impostures et favoriser la culture des forces égrégores négatives. L’imposture est une fabrique sur ce plan large de Monsieur Roland Gori magnifique dans ses propos : https://www.youtube.com/watch?v=2FEtiA18lZU&t=16s

Tout est énergie, et, c’est là tout ce qu’il y a à comprendre dans la vie. Aligne-toi à la fréquence de la réalité que tu souhaites et cette réalité se manifeste. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique.

Albert Einstein

Grâce et respect à la dignité d’être